Obstacles fréquents

La crainte de demander aux gens

Les familles sont souvent craintives à l’idée d’inviter des participants. Elles affirment ne pas savoir à qui demander ou ne pas pouvoir imaginer que quiconque se joigne à ce genre de groupe. Elles ne veulent pas s’imposer.

Pendant notre recherche dans le cadre de ce projet, nous avons entendu de nombreuses histoires de personnes qui se sentaient ainsi, avant d’être surprises que pratiquement tous ceux à qui elles s’adressaient, acceptaient l’invitation. Les gens se sentaient honorés que l’on ait pensé à eux. Que l’on considère que vous avez quelque chose à offrir dans ce genre de relation est encourageant, et savoir que vous ferez partie d’un groupe est rassurant.

Sachez que toutes les personnes auxquelles vous vous êtes adressés ne deviendront pas nécessairement des membres assidus du cercle. Souvent, vous ne saurez pas à l’avance avec qui cela fonctionnera. Bien sûr, ce peut être frustrant de voir certaines personnes abandonner. Essayez de vous y préparer. Dressez une liste de personnes à inviter en cas de besoin.

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Surmonter la souffrance du rejet

Les familles voient souvent souffrir leur jeune d’être rejeté et elles-mêmes peuvent en être blessées et ainsi avoir tendance à se refermer. Mais les parents ont beaucoup d’occasions d’entendre de bonnes histoires et de se convaincre que les relations d’amitié sont possibles. Une fois convaincus, tout peut changer pour leur fils ou leur fille.

Susan, ON

Choisir à qui s’adresser :

1) Adressez-vous à toute personne ayant été présente sur une base régulière dans la vie de votre jeune, mais sans en être encore particulièrement proche.

2) N’oubliez pas les relations plus anciennes. Il n’est pas important qu’actuellement, ces personnes ne soient pas proches de votre jeune. C’est une occasion pour votre famille de renouveler et d’approfondir vos relations. Certaines personnes seront heureuses de saisir cette occasion de revenir dans la vie de votre jeune.

3) Ne vous restreignez pas à un seul groupe d’âge. Les amitiés intergénérationnelles peuvent être précieuses. Demandez des idées aux membres réguliers si vous ne savez pas quoi faire. Ils connaissent peut-être une personne qui pourrait bien s’entendre avec votre jeune.

4) N’excluez pas la possibilité que des accompagnateurs rémunérés deviennent des amis. Ces accompagnateurs peuvent se transformer en véritables amis et demeurer fidèles même après avoir changé d’emploi.

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Si ses relations ne sont pas soutenues…

Les camps spécialisés sont merveilleusement adaptés. Malheureusement, les relations ne se prolongent pas durant l’année et sont de courtes durées. Si un site Web sécuritaire pouvait exister, ca serait formidable comme point de rencontre.

Parent, QC

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